La guide fait des visites anales
Être guide dans un musé prestigieux implique un niveau culturel très élevé et une constante envie d'apprendre l'histoire. La spécialité de cette guide est « la petite histoire », qui contrairement à la grande histoire, ne relate que des faits d'apparence insignifiants mais qui sont à la base de terribles révolutions, d'avancées sociales majeures et même de guerre. Et si elle s'intéresse à cette partie du passé, c'est parce qu'elle s'est vite aperçue que ces petites vagues du passé, qui ont entrainées des tsunamis historiques, sont presque exclusivement relier au sexe. Et ça tombe bien, c'est sa seconde spécialité. Elle s'applique donc à faire revivre à ses visiteurs ces petits incidents qui ont fini par déplacer des montagnes. Le thème du jour, est la place ignorée mais prépondérante des filles de joie de l'époque, qui grâce à leurs charmes pouvaient, pour les plus connues, obtenir tout ce qu'elles voulaient. La scène du jour représente la puissance de l'une d'entre elle qui était l'une des rares à se faire sodomiser. Elle rendait fou ses visiteurs en leur prodiguant les fellations les plus appréciées à des kilomètres à la ronde, puis, toujours dans sa lingerie explosive (pour l'époque), elle se faisait niquer dans des positions que seule elle pratiquait, avant de finalement offrir son cul pour la sodomie. Dès qu'elle se prenait une bite dans le cul, elle savait qu'elle tenait son amant par les couilles. Elle se faisait enculer en faisant au mieux pour exposer son postérieur aux yeux de « l'enculeur » pendant la pénétration anale. L'histoire ne dit pas si elle prenait du plaisir à l'époque, par contre la guide du musé à du mal à ne pas jouir tout de suite à chacune de ses reconstitutions. Encore plus rare et d'après le journal intime de la prostituée de l'époque, elle était sans doute la seule à sucer la bite de son amant après l'acte pour qu'il lui éjacule dans la bouche et sur le visage. La guide met donc un point d'honneur à faire comme elle jusqu'au bout pour bien coller au récit historique, en tout cas c'est ce qu'elle prétend.
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